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Création : 21/04/2013 à 02:43 Mise à jour : 08/05/2014 à 05:55

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3 articles taggés Audrey HEPBURN

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Billy WILDER est un réalisateur, producteur et scénariste américain de films noirs et de comédies. De son vrai nom Samuel WILDER, il est né à Sucha (actuelle Pologne, à l'époque possession de l'empire austro-hongrois en Galicie), le 22 juin 1906 et est mort d'une pneumonie à Beverly Hills, en Californie (États-Unis) le 27 mars 2002. Billy WILDER est l'une des figures les plus importantes du cinéma américain. Quatre de ses films sont présents dans le Top 100 de "l'American Film Institute", comme pour Alfred HITCHCOCK et Stanley KUBRICK. Il a dirigé quatorze acteurs différents ayant été nommés pour leur performance aux Oscars. Dans le classement du magazine "Sight & Sound", il figure à la septième place des plus grands réalisateurs. Billy WILDER a obtenu l'AFI (Life Achievement Award) en 1986, prix remis par "l'American Film Institute" une fois par an à un acteur ou un réalisateur ayant accompli une carrière remarquable. (photos de Billy WILDER et quelques STARS qu'il dirigea, telles Gloria SWANSON, Marlene DIETRICH, Audrey HEPBURN, Tony CURTIS et Jack LEMMON, Marilyn MONROE ou encore Shirley MacLAINE).

Billy WILDER est un réalisateur, producteur et scénariste américain de films noirs et de comédies. De son vrai nom Samuel WILDER, il est né à Sucha (actuelle Pologne, à l'époque possession de l'empire austro-hongrois en Galicie), le 22 juin 1906 et est mort d'une pneumonie à Beverly Hills, en Californie (États-Unis) le 27 mars 2002. Billy WILDER est l'une des figures les plus importantes du cinéma américain. Quatre de ses films sont présents dans le Top 100 de "l'American Film Institute", comme pour Alfred HITCHCOCK et Stanley KUBRICK. Il a dirigé quatorze acteurs différents ayant été nommés pour leur performance aux Oscars. Dans le classement du magazine "Sight & Sound", il figure à la septième place des plus grands réalisateurs. Billy WILDER a obtenu l'AFI (Life Achievement Award) en 1986, prix remis par "l'American Film Institute" une fois par an à un acteur ou un réalisateur ayant accompli une carrière remarquable. (photos de Billy WILDER et quelques STARS qu'il dirigea, telles Gloria SWANSON, Marlene DIETRICH, Audrey HEPBURN, Tony CURTIS et Jack LEMMON, Marilyn MONROE ou encore Shirley MacLAINE).
Billy WILDER est un réalisateur, producteur et scénariste américain de films noirs et de comédies. De son vrai nom Samuel WILDER, il est né à Sucha (actuelle Pologne, à l'époque possession de l'empire austro-hongrois en Galicie), le 22 juin 1906 et est mort d'une pneumonie à Beverly Hills, en Californie (États-Unis) le 27 mars 2002. Billy WILDER est l'une des figures les plus importantes du cinéma américain. Quatre de ses films sont présents dans le Top 100 de "l'American Film Institute", comme pour Alfred HITCHCOCK et Stanley KUBRICK. Il a dirigé quatorze acteurs différents ayant été nommés pour leur performance aux Oscars. Dans le classement du magazine "Sight & Sound", il figure à la septième place des plus grands réalisateurs. Billy WILDER a obtenu l'AFI (Life Achievement Award) en 1986, prix remis par "l'American Film Institute" une fois par an à un acteur ou un réalisateur ayant accompli une carrière remarquable. (photos de Billy WILDER et quelques STARS qu'il dirigea, telles Gloria SWANSON, Marlene DIETRICH, Audrey HEPBURN, Tony CURTIS et Jack LEMMON, Marilyn MONROE ou encore Shirley MacLAINE).Billy WILDER est un réalisateur, producteur et scénariste américain de films noirs et de comédies. De son vrai nom Samuel WILDER, il est né à Sucha (actuelle Pologne, à l'époque possession de l'empire austro-hongrois en Galicie), le 22 juin 1906 et est mort d'une pneumonie à Beverly Hills, en Californie (États-Unis) le 27 mars 2002. Billy WILDER est l'une des figures les plus importantes du cinéma américain. Quatre de ses films sont présents dans le Top 100 de "l'American Film Institute", comme pour Alfred HITCHCOCK et Stanley KUBRICK. Il a dirigé quatorze acteurs différents ayant été nommés pour leur performance aux Oscars. Dans le classement du magazine "Sight & Sound", il figure à la septième place des plus grands réalisateurs. Billy WILDER a obtenu l'AFI (Life Achievement Award) en 1986, prix remis par "l'American Film Institute" une fois par an à un acteur ou un réalisateur ayant accompli une carrière remarquable. (photos de Billy WILDER et quelques STARS qu'il dirigea, telles Gloria SWANSON, Marlene DIETRICH, Audrey HEPBURN, Tony CURTIS et Jack LEMMON, Marilyn MONROE ou encore Shirley MacLAINE).Billy WILDER est un réalisateur, producteur et scénariste américain de films noirs et de comédies. De son vrai nom Samuel WILDER, il est né à Sucha (actuelle Pologne, à l'époque possession de l'empire austro-hongrois en Galicie), le 22 juin 1906 et est mort d'une pneumonie à Beverly Hills, en Californie (États-Unis) le 27 mars 2002. Billy WILDER est l'une des figures les plus importantes du cinéma américain. Quatre de ses films sont présents dans le Top 100 de "l'American Film Institute", comme pour Alfred HITCHCOCK et Stanley KUBRICK. Il a dirigé quatorze acteurs différents ayant été nommés pour leur performance aux Oscars. Dans le classement du magazine "Sight & Sound", il figure à la septième place des plus grands réalisateurs. Billy WILDER a obtenu l'AFI (Life Achievement Award) en 1986, prix remis par "l'American Film Institute" une fois par an à un acteur ou un réalisateur ayant accompli une carrière remarquable. (photos de Billy WILDER et quelques STARS qu'il dirigea, telles Gloria SWANSON, Marlene DIETRICH, Audrey HEPBURN, Tony CURTIS et Jack LEMMON, Marilyn MONROE ou encore Shirley MacLAINE).Billy WILDER est un réalisateur, producteur et scénariste américain de films noirs et de comédies. De son vrai nom Samuel WILDER, il est né à Sucha (actuelle Pologne, à l'époque possession de l'empire austro-hongrois en Galicie), le 22 juin 1906 et est mort d'une pneumonie à Beverly Hills, en Californie (États-Unis) le 27 mars 2002. Billy WILDER est l'une des figures les plus importantes du cinéma américain. Quatre de ses films sont présents dans le Top 100 de "l'American Film Institute", comme pour Alfred HITCHCOCK et Stanley KUBRICK. Il a dirigé quatorze acteurs différents ayant été nommés pour leur performance aux Oscars. Dans le classement du magazine "Sight & Sound", il figure à la septième place des plus grands réalisateurs. Billy WILDER a obtenu l'AFI (Life Achievement Award) en 1986, prix remis par "l'American Film Institute" une fois par an à un acteur ou un réalisateur ayant accompli une carrière remarquable. (photos de Billy WILDER et quelques STARS qu'il dirigea, telles Gloria SWANSON, Marlene DIETRICH, Audrey HEPBURN, Tony CURTIS et Jack LEMMON, Marilyn MONROE ou encore Shirley MacLAINE).Billy WILDER est un réalisateur, producteur et scénariste américain de films noirs et de comédies. 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(photos de Billy WILDER et quelques STARS qu'il dirigea, telles Gloria SWANSON, Marlene DIETRICH, Audrey HEPBURN, Tony CURTIS et Jack LEMMON, Marilyn MONROE ou encore Shirley MacLAINE).Billy WILDER est un réalisateur, producteur et scénariste américain de films noirs et de comédies. De son vrai nom Samuel WILDER, il est né à Sucha (actuelle Pologne, à l'époque possession de l'empire austro-hongrois en Galicie), le 22 juin 1906 et est mort d'une pneumonie à Beverly Hills, en Californie (États-Unis) le 27 mars 2002. Billy WILDER est l'une des figures les plus importantes du cinéma américain. Quatre de ses films sont présents dans le Top 100 de "l'American Film Institute", comme pour Alfred HITCHCOCK et Stanley KUBRICK. Il a dirigé quatorze acteurs différents ayant été nommés pour leur performance aux Oscars. Dans le classement du magazine "Sight & Sound", il figure à la septième place des plus grands réalisateurs. Billy WILDER a obtenu l'AFI (Life Achievement Award) en 1986, prix remis par "l'American Film Institute" une fois par an à un acteur ou un réalisateur ayant accompli une carrière remarquable. (photos de Billy WILDER et quelques STARS qu'il dirigea, telles Gloria SWANSON, Marlene DIETRICH, Audrey HEPBURN, Tony CURTIS et Jack LEMMON, Marilyn MONROE ou encore Shirley MacLAINE).Billy WILDER est un réalisateur, producteur et scénariste américain de films noirs et de comédies. De son vrai nom Samuel WILDER, il est né à Sucha (actuelle Pologne, à l'époque possession de l'empire austro-hongrois en Galicie), le 22 juin 1906 et est mort d'une pneumonie à Beverly Hills, en Californie (États-Unis) le 27 mars 2002. Billy WILDER est l'une des figures les plus importantes du cinéma américain. Quatre de ses films sont présents dans le Top 100 de "l'American Film Institute", comme pour Alfred HITCHCOCK et Stanley KUBRICK. Il a dirigé quatorze acteurs différents ayant été nommés pour leur performance aux Oscars. Dans le classement du magazine "Sight & Sound", il figure à la septième place des plus grands réalisateurs. Billy WILDER a obtenu l'AFI (Life Achievement Award) en 1986, prix remis par "l'American Film Institute" une fois par an à un acteur ou un réalisateur ayant accompli une carrière remarquable. (photos de Billy WILDER et quelques STARS qu'il dirigea, telles Gloria SWANSON, Marlene DIETRICH, Audrey HEPBURN, Tony CURTIS et Jack LEMMON, Marilyn MONROE ou encore Shirley MacLAINE).
Tags : Billy WILDER, Shirley MacLAINE, Marilyn MONROE, Tony CURTIS, Jack LEMMON, Audrey HEPBURN, Marlene DIETRICH, Gloria SWANSON
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#Posté le dimanche 21 avril 2013 05:19

Modifié le mardi 23 avril 2013 16:58

Catherine Josephine Van FLEET dite Jo Van FLEET voit le jour le 30 décembre 1919, à Oakland en Californie. Après une enfance passée dans sa ville natale, elle suit des cours d'art dramatique à l'Université du Pacifique de Stockton (Californie). Après de brillantes études, elle s'inscrit chez le grand professeur Sanford MEISNER de la Neighborhood Playhouse de New York. C'est dans cette même ville qu'elle fait ses premiers pas professionnels sur scène en 1944. En 1946, après un passage remarqué au National Theater de Washington, Jo Van FLEET affûte son talent à Broadway dans plusieurs pièces de William SHAKESPEARE ou de Tennessee WILLIAMS. Elle devient rapidement une gloire de la scène new-yorkaise, notamment avec la pièce de Alexander KNOX, «The closing door» (1949), mise en scène par Lee STRASBERG. À cette époque, elle fait la connaissance de Elia KAZAN, qui va la diriger trois ans plus tard dans «Flight to Egypt» au Music Box Theater. En 1953, Jo Van FLEET gagne un Tony Award pour sa magistrale interprétation de Jessie WATTS, aux côtés de Lillian GISH, dans «A trip to Bountiful». Déjà, elle joue dans cette pièce le rôle d'une femme sexagénaire, alors qu'elle n'a que trente-quatre ans. Ebloui par sa performance, KAZAN lui ouvre les portes de l'Actors Studio. L'année suivante, le réalisateur l'engage pour incarner la mère de James DEAN dans «À l'Est d'Eden». Pour sa première apparition au cinéma, elle remporte l'Oscar du meilleur second rôle féminin. Elle donne alors la réplique à quelques uns plus grands acteurs de l'époque, parmi lesquels: Burt LANCASTER pour «La rose tatouée» (1955), Clark GABLE pour «Le roi et quatre reines» (1956), Kirk DOUGLAS pour «Règlement de comptes à OK Corral» (1957) et Montgomery CLIFT pour «Le fleuve sauvage» (1959) où cette fois, elle joue le rôle d'une octogénaire, toujours sous la direction de son ami KAZAN...

Catherine Josephine Van FLEET dite Jo Van FLEET voit le jour le 30 décembre 1919, à Oakland en Californie. Après une enfance passée dans sa ville natale, elle suit des cours d’art dramatique à l’Université du Pacifique de Stockton (Californie). Après de brillantes études, elle s’inscrit chez le grand professeur Sanford MEISNER de la Neighborhood Playhouse de New York. C’est dans cette même ville qu’elle fait ses premiers pas professionnels sur scène en 1944.  En 1946, après un passage remarqué au National Theater de Washington, Jo Van FLEET affûte son talent à Broadway dans plusieurs pièces de William SHAKESPEARE ou de Tennessee WILLIAMS. Elle devient rapidement une gloire de la scène new-yorkaise, notamment avec la pièce de Alexander KNOX, «The closing door» (1949), mise en scène par Lee STRASBERG. À cette époque, elle fait la connaissance de Elia KAZAN, qui va la diriger trois ans plus tard dans «Flight to Egypt» au Music Box Theater. En 1953, Jo Van FLEET gagne un Tony Award pour sa magistrale interprétation de Jessie WATTS, aux côtés de Lillian GISH, dans «A trip to Bountiful». Déjà, elle joue dans cette pièce le rôle d’une femme sexagénaire, alors qu’elle n’a que trente-quatre ans. Ebloui par sa performance, KAZAN lui ouvre les portes de l’Actors Studio.  L’année suivante, le réalisateur l’engage pour incarner la mère de James DEAN dans «À l’Est d’Eden». Pour sa première apparition au cinéma, elle remporte l’Oscar du meilleur second rôle féminin. Elle donne alors la réplique à quelques uns plus grands acteurs de l’époque, parmi lesquels: Burt LANCASTER pour «La rose tatouée» (1955), Clark GABLE pour «Le roi et quatre reines» (1956), Kirk DOUGLAS pour «Règlement de comptes à OK Corral» (1957) et Montgomery CLIFT pour «Le fleuve sauvage» (1959) où cette fois, elle joue le rôle d’une octogénaire, toujours sous la direction de son ami KAZAN...Catherine Josephine Van FLEET dite Jo Van FLEET voit le jour le 30 décembre 1919, à Oakland en Californie. Après une enfance passée dans sa ville natale, elle suit des cours d’art dramatique à l’Université du Pacifique de Stockton (Californie). Après de brillantes études, elle s’inscrit chez le grand professeur Sanford MEISNER de la Neighborhood Playhouse de New York. C’est dans cette même ville qu’elle fait ses premiers pas professionnels sur scène en 1944.  En 1946, après un passage remarqué au National Theater de Washington, Jo Van FLEET affûte son talent à Broadway dans plusieurs pièces de William SHAKESPEARE ou de Tennessee WILLIAMS. Elle devient rapidement une gloire de la scène new-yorkaise, notamment avec la pièce de Alexander KNOX, «The closing door» (1949), mise en scène par Lee STRASBERG. À cette époque, elle fait la connaissance de Elia KAZAN, qui va la diriger trois ans plus tard dans «Flight to Egypt» au Music Box Theater. En 1953, Jo Van FLEET gagne un Tony Award pour sa magistrale interprétation de Jessie WATTS, aux côtés de Lillian GISH, dans «A trip to Bountiful». Déjà, elle joue dans cette pièce le rôle d’une femme sexagénaire, alors qu’elle n’a que trente-quatre ans. Ebloui par sa performance, KAZAN lui ouvre les portes de l’Actors Studio.  L’année suivante, le réalisateur l’engage pour incarner la mère de James DEAN dans «À l’Est d’Eden». Pour sa première apparition au cinéma, elle remporte l’Oscar du meilleur second rôle féminin. Elle donne alors la réplique à quelques uns plus grands acteurs de l’époque, parmi lesquels: Burt LANCASTER pour «La rose tatouée» (1955), Clark GABLE pour «Le roi et quatre reines» (1956), Kirk DOUGLAS pour «Règlement de comptes à OK Corral» (1957) et Montgomery CLIFT pour «Le fleuve sauvage» (1959) où cette fois, elle joue le rôle d’une octogénaire, toujours sous la direction de son ami KAZAN...Catherine Josephine Van FLEET dite Jo Van FLEET voit le jour le 30 décembre 1919, à Oakland en Californie. Après une enfance passée dans sa ville natale, elle suit des cours d’art dramatique à l’Université du Pacifique de Stockton (Californie). Après de brillantes études, elle s’inscrit chez le grand professeur Sanford MEISNER de la Neighborhood Playhouse de New York. C’est dans cette même ville qu’elle fait ses premiers pas professionnels sur scène en 1944.  En 1946, après un passage remarqué au National Theater de Washington, Jo Van FLEET affûte son talent à Broadway dans plusieurs pièces de William SHAKESPEARE ou de Tennessee WILLIAMS. Elle devient rapidement une gloire de la scène new-yorkaise, notamment avec la pièce de Alexander KNOX, «The closing door» (1949), mise en scène par Lee STRASBERG. À cette époque, elle fait la connaissance de Elia KAZAN, qui va la diriger trois ans plus tard dans «Flight to Egypt» au Music Box Theater. En 1953, Jo Van FLEET gagne un Tony Award pour sa magistrale interprétation de Jessie WATTS, aux côtés de Lillian GISH, dans «A trip to Bountiful». Déjà, elle joue dans cette pièce le rôle d’une femme sexagénaire, alors qu’elle n’a que trente-quatre ans. Ebloui par sa performance, KAZAN lui ouvre les portes de l’Actors Studio.  L’année suivante, le réalisateur l’engage pour incarner la mère de James DEAN dans «À l’Est d’Eden». Pour sa première apparition au cinéma, elle remporte l’Oscar du meilleur second rôle féminin. Elle donne alors la réplique à quelques uns plus grands acteurs de l’époque, parmi lesquels: Burt LANCASTER pour «La rose tatouée» (1955), Clark GABLE pour «Le roi et quatre reines» (1956), Kirk DOUGLAS pour «Règlement de comptes à OK Corral» (1957) et Montgomery CLIFT pour «Le fleuve sauvage» (1959) où cette fois, elle joue le rôle d’une octogénaire, toujours sous la direction de son ami KAZAN...Catherine Josephine Van FLEET dite Jo Van FLEET voit le jour le 30 décembre 1919, à Oakland en Californie. Après une enfance passée dans sa ville natale, elle suit des cours d’art dramatique à l’Université du Pacifique de Stockton (Californie). Après de brillantes études, elle s’inscrit chez le grand professeur Sanford MEISNER de la Neighborhood Playhouse de New York. C’est dans cette même ville qu’elle fait ses premiers pas professionnels sur scène en 1944.  En 1946, après un passage remarqué au National Theater de Washington, Jo Van FLEET affûte son talent à Broadway dans plusieurs pièces de William SHAKESPEARE ou de Tennessee WILLIAMS. Elle devient rapidement une gloire de la scène new-yorkaise, notamment avec la pièce de Alexander KNOX, «The closing door» (1949), mise en scène par Lee STRASBERG. À cette époque, elle fait la connaissance de Elia KAZAN, qui va la diriger trois ans plus tard dans «Flight to Egypt» au Music Box Theater. En 1953, Jo Van FLEET gagne un Tony Award pour sa magistrale interprétation de Jessie WATTS, aux côtés de Lillian GISH, dans «A trip to Bountiful». Déjà, elle joue dans cette pièce le rôle d’une femme sexagénaire, alors qu’elle n’a que trente-quatre ans. Ebloui par sa performance, KAZAN lui ouvre les portes de l’Actors Studio.  L’année suivante, le réalisateur l’engage pour incarner la mère de James DEAN dans «À l’Est d’Eden». Pour sa première apparition au cinéma, elle remporte l’Oscar du meilleur second rôle féminin. Elle donne alors la réplique à quelques uns plus grands acteurs de l’époque, parmi lesquels: Burt LANCASTER pour «La rose tatouée» (1955), Clark GABLE pour «Le roi et quatre reines» (1956), Kirk DOUGLAS pour «Règlement de comptes à OK Corral» (1957) et Montgomery CLIFT pour «Le fleuve sauvage» (1959) où cette fois, elle joue le rôle d’une octogénaire, toujours sous la direction de son ami KAZAN...Catherine Josephine Van FLEET dite Jo Van FLEET voit le jour le 30 décembre 1919, à Oakland en Californie. Après une enfance passée dans sa ville natale, elle suit des cours d’art dramatique à l’Université du Pacifique de Stockton (Californie). Après de brillantes études, elle s’inscrit chez le grand professeur Sanford MEISNER de la Neighborhood Playhouse de New York. C’est dans cette même ville qu’elle fait ses premiers pas professionnels sur scène en 1944.  En 1946, après un passage remarqué au National Theater de Washington, Jo Van FLEET affûte son talent à Broadway dans plusieurs pièces de William SHAKESPEARE ou de Tennessee WILLIAMS. Elle devient rapidement une gloire de la scène new-yorkaise, notamment avec la pièce de Alexander KNOX, «The closing door» (1949), mise en scène par Lee STRASBERG. À cette époque, elle fait la connaissance de Elia KAZAN, qui va la diriger trois ans plus tard dans «Flight to Egypt» au Music Box Theater. En 1953, Jo Van FLEET gagne un Tony Award pour sa magistrale interprétation de Jessie WATTS, aux côtés de Lillian GISH, dans «A trip to Bountiful». Déjà, elle joue dans cette pièce le rôle d’une femme sexagénaire, alors qu’elle n’a que trente-quatre ans. Ebloui par sa performance, KAZAN lui ouvre les portes de l’Actors Studio.  L’année suivante, le réalisateur l’engage pour incarner la mère de James DEAN dans «À l’Est d’Eden». Pour sa première apparition au cinéma, elle remporte l’Oscar du meilleur second rôle féminin. Elle donne alors la réplique à quelques uns plus grands acteurs de l’époque, parmi lesquels: Burt LANCASTER pour «La rose tatouée» (1955), Clark GABLE pour «Le roi et quatre reines» (1956), Kirk DOUGLAS pour «Règlement de comptes à OK Corral» (1957) et Montgomery CLIFT pour «Le fleuve sauvage» (1959) où cette fois, elle joue le rôle d’une octogénaire, toujours sous la direction de son ami KAZAN...Catherine Josephine Van FLEET dite Jo Van FLEET voit le jour le 30 décembre 1919, à Oakland en Californie. Après une enfance passée dans sa ville natale, elle suit des cours d’art dramatique à l’Université du Pacifique de Stockton (Californie). Après de brillantes études, elle s’inscrit chez le grand professeur Sanford MEISNER de la Neighborhood Playhouse de New York. C’est dans cette même ville qu’elle fait ses premiers pas professionnels sur scène en 1944.  En 1946, après un passage remarqué au National Theater de Washington, Jo Van FLEET affûte son talent à Broadway dans plusieurs pièces de William SHAKESPEARE ou de Tennessee WILLIAMS. Elle devient rapidement une gloire de la scène new-yorkaise, notamment avec la pièce de Alexander KNOX, «The closing door» (1949), mise en scène par Lee STRASBERG. À cette époque, elle fait la connaissance de Elia KAZAN, qui va la diriger trois ans plus tard dans «Flight to Egypt» au Music Box Theater. En 1953, Jo Van FLEET gagne un Tony Award pour sa magistrale interprétation de Jessie WATTS, aux côtés de Lillian GISH, dans «A trip to Bountiful». Déjà, elle joue dans cette pièce le rôle d’une femme sexagénaire, alors qu’elle n’a que trente-quatre ans. Ebloui par sa performance, KAZAN lui ouvre les portes de l’Actors Studio.  L’année suivante, le réalisateur l’engage pour incarner la mère de James DEAN dans «À l’Est d’Eden». Pour sa première apparition au cinéma, elle remporte l’Oscar du meilleur second rôle féminin. Elle donne alors la réplique à quelques uns plus grands acteurs de l’époque, parmi lesquels: Burt LANCASTER pour «La rose tatouée» (1955), Clark GABLE pour «Le roi et quatre reines» (1956), Kirk DOUGLAS pour «Règlement de comptes à OK Corral» (1957) et Montgomery CLIFT pour «Le fleuve sauvage» (1959) où cette fois, elle joue le rôle d’une octogénaire, toujours sous la direction de son ami KAZAN...Catherine Josephine Van FLEET dite Jo Van FLEET voit le jour le 30 décembre 1919, à Oakland en Californie. Après une enfance passée dans sa ville natale, elle suit des cours d’art dramatique à l’Université du Pacifique de Stockton (Californie). Après de brillantes études, elle s’inscrit chez le grand professeur Sanford MEISNER de la Neighborhood Playhouse de New York. C’est dans cette même ville qu’elle fait ses premiers pas professionnels sur scène en 1944.  En 1946, après un passage remarqué au National Theater de Washington, Jo Van FLEET affûte son talent à Broadway dans plusieurs pièces de William SHAKESPEARE ou de Tennessee WILLIAMS. Elle devient rapidement une gloire de la scène new-yorkaise, notamment avec la pièce de Alexander KNOX, «The closing door» (1949), mise en scène par Lee STRASBERG. À cette époque, elle fait la connaissance de Elia KAZAN, qui va la diriger trois ans plus tard dans «Flight to Egypt» au Music Box Theater. En 1953, Jo Van FLEET gagne un Tony Award pour sa magistrale interprétation de Jessie WATTS, aux côtés de Lillian GISH, dans «A trip to Bountiful». Déjà, elle joue dans cette pièce le rôle d’une femme sexagénaire, alors qu’elle n’a que trente-quatre ans. Ebloui par sa performance, KAZAN lui ouvre les portes de l’Actors Studio.  L’année suivante, le réalisateur l’engage pour incarner la mère de James DEAN dans «À l’Est d’Eden». Pour sa première apparition au cinéma, elle remporte l’Oscar du meilleur second rôle féminin. Elle donne alors la réplique à quelques uns plus grands acteurs de l’époque, parmi lesquels: Burt LANCASTER pour «La rose tatouée» (1955), Clark GABLE pour «Le roi et quatre reines» (1956), Kirk DOUGLAS pour «Règlement de comptes à OK Corral» (1957) et Montgomery CLIFT pour «Le fleuve sauvage» (1959) où cette fois, elle joue le rôle d’une octogénaire, toujours sous la direction de son ami KAZAN...Catherine Josephine Van FLEET dite Jo Van FLEET voit le jour le 30 décembre 1919, à Oakland en Californie. Après une enfance passée dans sa ville natale, elle suit des cours d’art dramatique à l’Université du Pacifique de Stockton (Californie). Après de brillantes études, elle s’inscrit chez le grand professeur Sanford MEISNER de la Neighborhood Playhouse de New York. C’est dans cette même ville qu’elle fait ses premiers pas professionnels sur scène en 1944.  En 1946, après un passage remarqué au National Theater de Washington, Jo Van FLEET affûte son talent à Broadway dans plusieurs pièces de William SHAKESPEARE ou de Tennessee WILLIAMS. Elle devient rapidement une gloire de la scène new-yorkaise, notamment avec la pièce de Alexander KNOX, «The closing door» (1949), mise en scène par Lee STRASBERG. À cette époque, elle fait la connaissance de Elia KAZAN, qui va la diriger trois ans plus tard dans «Flight to Egypt» au Music Box Theater. En 1953, Jo Van FLEET gagne un Tony Award pour sa magistrale interprétation de Jessie WATTS, aux côtés de Lillian GISH, dans «A trip to Bountiful». Déjà, elle joue dans cette pièce le rôle d’une femme sexagénaire, alors qu’elle n’a que trente-quatre ans. Ebloui par sa performance, KAZAN lui ouvre les portes de l’Actors Studio.  L’année suivante, le réalisateur l’engage pour incarner la mère de James DEAN dans «À l’Est d’Eden». 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Tags : Jo Van FLEET, Audrey HEPBURN, Dolores GRAY, James DEAN, Richard DAVALOS, Jack LEMMON, Ernest BORGNINE, 1955
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#Posté le mercredi 01 mai 2013 03:05

Modifié le lundi 06 mai 2013 10:42

Edith HEAD (28 octobre 1897 - 24 octobre 1981) est une costumière américaine de cinéma, qui a remporté huit Oscar de la meilleure création de costumes. Elle a travaillé pour les studios Paramount Pictures durant toute sa carrière. Attirée par Howard GREER, costumier en chef de Paramount Pictures, elle va vite s'imposer dans cette firme. Sa longue carrière à Hollywood lui a permis de remporter plus d'Oscars que n'importe quelle autre femme dans l'histoire du cinéma. Edith HEAD a fait des apparitions comme actrice en 1966 dans "La Statue en or massif" de Russell ROUSE, et en 1973 dans un épisode du feuilleton "Columbo", l'épisode "Requiem pour une star" (Requiem for a Falling Star, 1973, saison 2, avec Anne BAXTER également), où elle joue son propre rôle, et où l'on voit les oscars qu'elle a remportés, sauf le dernier, remporté en 1974 pour "L'Arnaque". Elle a écrit deux livres : "The Dress Doctor" et "How to Dress with Success". Elle est morte à 84 ans à Los Angeles d'une maladie de la moelle osseuse. Un des rares techniciens du cinéma à jouir d'une certaine notoriété auprès du public, Edith HEAD associe son nom au glamour de toute une époque du cinéma américain. Elle participe à la plupart des productions de prestige de la Paramount jusqu'en 1967, date à laquelle elle signe un contrat avec Universal. Il arrive que ses créations pour le cinéma provoquent des effets de mode dans la vie réelle. Le manteau de plumes de paon de Hedy LAMARR dans "Samson et Dalila" (1949) de Cecil B. DeMILLE, le fameux vison de Bette DAVIS pour "Eve" (1950) de Joseph Leo MANKIEWICZ, les pantalons cigarette d'Audrey HEPBURN dans "Sabrina" (1954) de Billy WILDER sont tous signés Edith HEAD. Durant sa longue collaboration avec Alfred HITCHCOCK, elle habille notamment Grace KELLY et Kim NOVAK. Elle excelle dans l'univers masculin et les costumes d'époque, comme en témoignent "L'Arnaque" (1973) de George ROY-HILL ou "L'Homme qui tua Liberty Valance" (1962) de John FORD. Dans son dernier film, "Les Cadavres ne portent pas de costard" (1982) de Rob REINER, cette costumière couverte d'oscars se livre à un amusant travail de pastiche. (photos d'Edith en compagnie de quelques STARS avec qui elle travailla, telles Dorothy LAMOUR, Anne BAXTER, Grace KELLY, Olivia De HAVILLAND, Audrey HEPBURN et Mel FERRER, Jeff CHANDLER ou encore Alfred HITCHCOCK et Ingrid BERGMAN).

Edith HEAD (28 octobre 1897 - 24 octobre 1981) est une costumière américaine de cinéma, qui a remporté huit Oscar de la meilleure création de costumes. Elle a travaillé pour les studios Paramount Pictures durant toute sa carrière. Attirée par Howard GREER, costumier en chef de Paramount Pictures, elle va vite s'imposer dans cette firme. Sa longue carrière à Hollywood lui a permis de remporter plus d'Oscars que n'importe quelle autre femme dans l'histoire du cinéma. Edith HEAD a fait des apparitions comme actrice en 1966 dans "La Statue en or massif" de Russell ROUSE, et en 1973 dans un épisode du feuilleton "Columbo", l'épisode "Requiem pour une star" (Requiem for a Falling Star, 1973, saison 2, avec Anne BAXTER également), où elle joue son propre rôle, et où l'on voit les oscars qu'elle a remportés, sauf le dernier, remporté en 1974 pour "L'Arnaque". Elle a écrit deux livres : "The Dress Doctor" et "How to Dress with Success". Elle est morte à 84 ans à Los Angeles d'une maladie de la moelle osseuse. Un des rares techniciens du cinéma à jouir d'une certaine notoriété auprès du public, Edith HEAD associe son nom au glamour de toute une époque du cinéma américain. Elle participe à la plupart des productions de prestige de la Paramount jusqu'en 1967, date à laquelle elle signe un contrat avec Universal. Il arrive que ses créations pour le cinéma provoquent des effets de mode dans la vie réelle. Le manteau de plumes de paon de Hedy LAMARR dans "Samson et Dalila" (1949) de Cecil B. DeMILLE, le fameux vison de Bette DAVIS pour "Eve" (1950) de Joseph Leo MANKIEWICZ, les pantalons cigarette d'Audrey HEPBURN dans "Sabrina" (1954) de Billy WILDER sont tous signés Edith HEAD. Durant sa longue collaboration avec Alfred HITCHCOCK, elle habille notamment Grace KELLY et Kim NOVAK. Elle excelle dans l'univers masculin et les costumes d'époque, comme en témoignent "L'Arnaque" (1973) de George ROY-HILL ou "L'Homme qui tua Liberty Valance" (1962) de John FORD. Dans son dernier film, "Les Cadavres ne portent pas de costard" (1982) de Rob REINER, cette costumière couverte d'oscars se livre à un amusant travail de pastiche. (photos d'Edith en compagnie de quelques STARS avec qui elle travailla, telles Dorothy LAMOUR, Anne BAXTER, Grace KELLY, Olivia De HAVILLAND, Audrey HEPBURN et Mel FERRER, Jeff CHANDLER ou encore Alfred HITCHCOCK et Ingrid BERGMAN).
Edith HEAD (28 octobre 1897 - 24 octobre 1981) est une costumière américaine de cinéma, qui a remporté huit Oscar de la meilleure création de costumes. Elle a travaillé pour les studios Paramount Pictures durant toute sa carrière. Attirée par Howard GREER, costumier en chef de Paramount Pictures, elle va vite s'imposer dans cette firme. Sa longue carrière à Hollywood lui a permis de remporter plus d'Oscars que n'importe quelle autre femme dans l'histoire du cinéma. Edith HEAD a fait des apparitions comme actrice en 1966 dans "La Statue en or massif" de Russell ROUSE, et en 1973 dans un épisode du feuilleton "Columbo", l'épisode "Requiem pour une star" (Requiem for a Falling Star, 1973, saison 2, avec Anne BAXTER également), où elle joue son propre rôle, et où l'on voit les oscars qu'elle a remportés, sauf le dernier, remporté en 1974 pour "L'Arnaque". Elle a écrit deux livres : "The Dress Doctor" et "How to Dress with Success". Elle est morte à 84 ans à Los Angeles d'une maladie de la moelle osseuse. Un des rares techniciens du cinéma à jouir d'une certaine notoriété auprès du public, Edith HEAD associe son nom au glamour de toute une époque du cinéma américain. Elle participe à la plupart des productions de prestige de la Paramount jusqu'en 1967, date à laquelle elle signe un contrat avec Universal. Il arrive que ses créations pour le cinéma provoquent des effets de mode dans la vie réelle. Le manteau de plumes de paon de Hedy LAMARR dans "Samson et Dalila" (1949) de Cecil B. DeMILLE, le fameux vison de Bette DAVIS pour "Eve" (1950) de Joseph Leo MANKIEWICZ, les pantalons cigarette d'Audrey HEPBURN dans "Sabrina" (1954) de Billy WILDER sont tous signés Edith HEAD. Durant sa longue collaboration avec Alfred HITCHCOCK, elle habille notamment Grace KELLY et Kim NOVAK. Elle excelle dans l'univers masculin et les costumes d'époque, comme en témoignent "L'Arnaque" (1973) de George ROY-HILL ou "L'Homme qui tua Liberty Valance" (1962) de John FORD. Dans son dernier film, "Les Cadavres ne portent pas de costard" (1982) de Rob REINER, cette costumière couverte d'oscars se livre à un amusant travail de pastiche. (photos d'Edith en compagnie de quelques STARS avec qui elle travailla, telles Dorothy LAMOUR, Anne BAXTER, Grace KELLY, Olivia De HAVILLAND, Audrey HEPBURN et Mel FERRER, Jeff CHANDLER ou encore Alfred HITCHCOCK et Ingrid BERGMAN).Edith HEAD (28 octobre 1897 - 24 octobre 1981) est une costumière américaine de cinéma, qui a remporté huit Oscar de la meilleure création de costumes. Elle a travaillé pour les studios Paramount Pictures durant toute sa carrière. Attirée par Howard GREER, costumier en chef de Paramount Pictures, elle va vite s'imposer dans cette firme. Sa longue carrière à Hollywood lui a permis de remporter plus d'Oscars que n'importe quelle autre femme dans l'histoire du cinéma. Edith HEAD a fait des apparitions comme actrice en 1966 dans "La Statue en or massif" de Russell ROUSE, et en 1973 dans un épisode du feuilleton "Columbo", l'épisode "Requiem pour une star" (Requiem for a Falling Star, 1973, saison 2, avec Anne BAXTER également), où elle joue son propre rôle, et où l'on voit les oscars qu'elle a remportés, sauf le dernier, remporté en 1974 pour "L'Arnaque". Elle a écrit deux livres : "The Dress Doctor" et "How to Dress with Success". Elle est morte à 84 ans à Los Angeles d'une maladie de la moelle osseuse. Un des rares techniciens du cinéma à jouir d'une certaine notoriété auprès du public, Edith HEAD associe son nom au glamour de toute une époque du cinéma américain. Elle participe à la plupart des productions de prestige de la Paramount jusqu'en 1967, date à laquelle elle signe un contrat avec Universal. Il arrive que ses créations pour le cinéma provoquent des effets de mode dans la vie réelle. Le manteau de plumes de paon de Hedy LAMARR dans "Samson et Dalila" (1949) de Cecil B. DeMILLE, le fameux vison de Bette DAVIS pour "Eve" (1950) de Joseph Leo MANKIEWICZ, les pantalons cigarette d'Audrey HEPBURN dans "Sabrina" (1954) de Billy WILDER sont tous signés Edith HEAD. Durant sa longue collaboration avec Alfred HITCHCOCK, elle habille notamment Grace KELLY et Kim NOVAK. Elle excelle dans l'univers masculin et les costumes d'époque, comme en témoignent "L'Arnaque" (1973) de George ROY-HILL ou "L'Homme qui tua Liberty Valance" (1962) de John FORD. Dans son dernier film, "Les Cadavres ne portent pas de costard" (1982) de Rob REINER, cette costumière couverte d'oscars se livre à un amusant travail de pastiche. (photos d'Edith en compagnie de quelques STARS avec qui elle travailla, telles Dorothy LAMOUR, Anne BAXTER, Grace KELLY, Olivia De HAVILLAND, Audrey HEPBURN et Mel FERRER, Jeff CHANDLER ou encore Alfred HITCHCOCK et Ingrid BERGMAN).Edith HEAD (28 octobre 1897 - 24 octobre 1981) est une costumière américaine de cinéma, qui a remporté huit Oscar de la meilleure création de costumes. Elle a travaillé pour les studios Paramount Pictures durant toute sa carrière. Attirée par Howard GREER, costumier en chef de Paramount Pictures, elle va vite s'imposer dans cette firme. Sa longue carrière à Hollywood lui a permis de remporter plus d'Oscars que n'importe quelle autre femme dans l'histoire du cinéma. Edith HEAD a fait des apparitions comme actrice en 1966 dans "La Statue en or massif" de Russell ROUSE, et en 1973 dans un épisode du feuilleton "Columbo", l'épisode "Requiem pour une star" (Requiem for a Falling Star, 1973, saison 2, avec Anne BAXTER également), où elle joue son propre rôle, et où l'on voit les oscars qu'elle a remportés, sauf le dernier, remporté en 1974 pour "L'Arnaque". Elle a écrit deux livres : "The Dress Doctor" et "How to Dress with Success". Elle est morte à 84 ans à Los Angeles d'une maladie de la moelle osseuse. Un des rares techniciens du cinéma à jouir d'une certaine notoriété auprès du public, Edith HEAD associe son nom au glamour de toute une époque du cinéma américain. Elle participe à la plupart des productions de prestige de la Paramount jusqu'en 1967, date à laquelle elle signe un contrat avec Universal. Il arrive que ses créations pour le cinéma provoquent des effets de mode dans la vie réelle. Le manteau de plumes de paon de Hedy LAMARR dans "Samson et Dalila" (1949) de Cecil B. DeMILLE, le fameux vison de Bette DAVIS pour "Eve" (1950) de Joseph Leo MANKIEWICZ, les pantalons cigarette d'Audrey HEPBURN dans "Sabrina" (1954) de Billy WILDER sont tous signés Edith HEAD. Durant sa longue collaboration avec Alfred HITCHCOCK, elle habille notamment Grace KELLY et Kim NOVAK. Elle excelle dans l'univers masculin et les costumes d'époque, comme en témoignent "L'Arnaque" (1973) de George ROY-HILL ou "L'Homme qui tua Liberty Valance" (1962) de John FORD. Dans son dernier film, "Les Cadavres ne portent pas de costard" (1982) de Rob REINER, cette costumière couverte d'oscars se livre à un amusant travail de pastiche. (photos d'Edith en compagnie de quelques STARS avec qui elle travailla, telles Dorothy LAMOUR, Anne BAXTER, Grace KELLY, Olivia De HAVILLAND, Audrey HEPBURN et Mel FERRER, Jeff CHANDLER ou encore Alfred HITCHCOCK et Ingrid BERGMAN).Edith HEAD (28 octobre 1897 - 24 octobre 1981) est une costumière américaine de cinéma, qui a remporté huit Oscar de la meilleure création de costumes. Elle a travaillé pour les studios Paramount Pictures durant toute sa carrière. Attirée par Howard GREER, costumier en chef de Paramount Pictures, elle va vite s'imposer dans cette firme. Sa longue carrière à Hollywood lui a permis de remporter plus d'Oscars que n'importe quelle autre femme dans l'histoire du cinéma. Edith HEAD a fait des apparitions comme actrice en 1966 dans "La Statue en or massif" de Russell ROUSE, et en 1973 dans un épisode du feuilleton "Columbo", l'épisode "Requiem pour une star" (Requiem for a Falling Star, 1973, saison 2, avec Anne BAXTER également), où elle joue son propre rôle, et où l'on voit les oscars qu'elle a remportés, sauf le dernier, remporté en 1974 pour "L'Arnaque". Elle a écrit deux livres : "The Dress Doctor" et "How to Dress with Success". Elle est morte à 84 ans à Los Angeles d'une maladie de la moelle osseuse. Un des rares techniciens du cinéma à jouir d'une certaine notoriété auprès du public, Edith HEAD associe son nom au glamour de toute une époque du cinéma américain. Elle participe à la plupart des productions de prestige de la Paramount jusqu'en 1967, date à laquelle elle signe un contrat avec Universal. Il arrive que ses créations pour le cinéma provoquent des effets de mode dans la vie réelle. Le manteau de plumes de paon de Hedy LAMARR dans "Samson et Dalila" (1949) de Cecil B. DeMILLE, le fameux vison de Bette DAVIS pour "Eve" (1950) de Joseph Leo MANKIEWICZ, les pantalons cigarette d'Audrey HEPBURN dans "Sabrina" (1954) de Billy WILDER sont tous signés Edith HEAD. Durant sa longue collaboration avec Alfred HITCHCOCK, elle habille notamment Grace KELLY et Kim NOVAK. Elle excelle dans l'univers masculin et les costumes d'époque, comme en témoignent "L'Arnaque" (1973) de George ROY-HILL ou "L'Homme qui tua Liberty Valance" (1962) de John FORD. Dans son dernier film, "Les Cadavres ne portent pas de costard" (1982) de Rob REINER, cette costumière couverte d'oscars se livre à un amusant travail de pastiche. (photos d'Edith en compagnie de quelques STARS avec qui elle travailla, telles Dorothy LAMOUR, Anne BAXTER, Grace KELLY, Olivia De HAVILLAND, Audrey HEPBURN et Mel FERRER, Jeff CHANDLER ou encore Alfred HITCHCOCK et Ingrid BERGMAN).Edith HEAD (28 octobre 1897 - 24 octobre 1981) est une costumière américaine de cinéma, qui a remporté huit Oscar de la meilleure création de costumes. Elle a travaillé pour les studios Paramount Pictures durant toute sa carrière. Attirée par Howard GREER, costumier en chef de Paramount Pictures, elle va vite s'imposer dans cette firme. Sa longue carrière à Hollywood lui a permis de remporter plus d'Oscars que n'importe quelle autre femme dans l'histoire du cinéma. Edith HEAD a fait des apparitions comme actrice en 1966 dans "La Statue en or massif" de Russell ROUSE, et en 1973 dans un épisode du feuilleton "Columbo", l'épisode "Requiem pour une star" (Requiem for a Falling Star, 1973, saison 2, avec Anne BAXTER également), où elle joue son propre rôle, et où l'on voit les oscars qu'elle a remportés, sauf le dernier, remporté en 1974 pour "L'Arnaque". Elle a écrit deux livres : "The Dress Doctor" et "How to Dress with Success". Elle est morte à 84 ans à Los Angeles d'une maladie de la moelle osseuse. Un des rares techniciens du cinéma à jouir d'une certaine notoriété auprès du public, Edith HEAD associe son nom au glamour de toute une époque du cinéma américain. Elle participe à la plupart des productions de prestige de la Paramount jusqu'en 1967, date à laquelle elle signe un contrat avec Universal. Il arrive que ses créations pour le cinéma provoquent des effets de mode dans la vie réelle. Le manteau de plumes de paon de Hedy LAMARR dans "Samson et Dalila" (1949) de Cecil B. DeMILLE, le fameux vison de Bette DAVIS pour "Eve" (1950) de Joseph Leo MANKIEWICZ, les pantalons cigarette d'Audrey HEPBURN dans "Sabrina" (1954) de Billy WILDER sont tous signés Edith HEAD. Durant sa longue collaboration avec Alfred HITCHCOCK, elle habille notamment Grace KELLY et Kim NOVAK. Elle excelle dans l'univers masculin et les costumes d'époque, comme en témoignent "L'Arnaque" (1973) de George ROY-HILL ou "L'Homme qui tua Liberty Valance" (1962) de John FORD. Dans son dernier film, "Les Cadavres ne portent pas de costard" (1982) de Rob REINER, cette costumière couverte d'oscars se livre à un amusant travail de pastiche. (photos d'Edith en compagnie de quelques STARS avec qui elle travailla, telles Dorothy LAMOUR, Anne BAXTER, Grace KELLY, Olivia De HAVILLAND, Audrey HEPBURN et Mel FERRER, Jeff CHANDLER ou encore Alfred HITCHCOCK et Ingrid BERGMAN).Edith HEAD (28 octobre 1897 - 24 octobre 1981) est une costumière américaine de cinéma, qui a remporté huit Oscar de la meilleure création de costumes. Elle a travaillé pour les studios Paramount Pictures durant toute sa carrière. Attirée par Howard GREER, costumier en chef de Paramount Pictures, elle va vite s'imposer dans cette firme. Sa longue carrière à Hollywood lui a permis de remporter plus d'Oscars que n'importe quelle autre femme dans l'histoire du cinéma. Edith HEAD a fait des apparitions comme actrice en 1966 dans "La Statue en or massif" de Russell ROUSE, et en 1973 dans un épisode du feuilleton "Columbo", l'épisode "Requiem pour une star" (Requiem for a Falling Star, 1973, saison 2, avec Anne BAXTER également), où elle joue son propre rôle, et où l'on voit les oscars qu'elle a remportés, sauf le dernier, remporté en 1974 pour "L'Arnaque". Elle a écrit deux livres : "The Dress Doctor" et "How to Dress with Success". Elle est morte à 84 ans à Los Angeles d'une maladie de la moelle osseuse. Un des rares techniciens du cinéma à jouir d'une certaine notoriété auprès du public, Edith HEAD associe son nom au glamour de toute une époque du cinéma américain. Elle participe à la plupart des productions de prestige de la Paramount jusqu'en 1967, date à laquelle elle signe un contrat avec Universal. Il arrive que ses créations pour le cinéma provoquent des effets de mode dans la vie réelle. Le manteau de plumes de paon de Hedy LAMARR dans "Samson et Dalila" (1949) de Cecil B. DeMILLE, le fameux vison de Bette DAVIS pour "Eve" (1950) de Joseph Leo MANKIEWICZ, les pantalons cigarette d'Audrey HEPBURN dans "Sabrina" (1954) de Billy WILDER sont tous signés Edith HEAD. Durant sa longue collaboration avec Alfred HITCHCOCK, elle habille notamment Grace KELLY et Kim NOVAK. Elle excelle dans l'univers masculin et les costumes d'époque, comme en témoignent "L'Arnaque" (1973) de George ROY-HILL ou "L'Homme qui tua Liberty Valance" (1962) de John FORD. Dans son dernier film, "Les Cadavres ne portent pas de costard" (1982) de Rob REINER, cette costumière couverte d'oscars se livre à un amusant travail de pastiche. (photos d'Edith en compagnie de quelques STARS avec qui elle travailla, telles Dorothy LAMOUR, Anne BAXTER, Grace KELLY, Olivia De HAVILLAND, Audrey HEPBURN et Mel FERRER, Jeff CHANDLER ou encore Alfred HITCHCOCK et Ingrid BERGMAN).Edith HEAD (28 octobre 1897 - 24 octobre 1981) est une costumière américaine de cinéma, qui a remporté huit Oscar de la meilleure création de costumes. Elle a travaillé pour les studios Paramount Pictures durant toute sa carrière. Attirée par Howard GREER, costumier en chef de Paramount Pictures, elle va vite s'imposer dans cette firme. Sa longue carrière à Hollywood lui a permis de remporter plus d'Oscars que n'importe quelle autre femme dans l'histoire du cinéma. Edith HEAD a fait des apparitions comme actrice en 1966 dans "La Statue en or massif" de Russell ROUSE, et en 1973 dans un épisode du feuilleton "Columbo", l'épisode "Requiem pour une star" (Requiem for a Falling Star, 1973, saison 2, avec Anne BAXTER également), où elle joue son propre rôle, et où l'on voit les oscars qu'elle a remportés, sauf le dernier, remporté en 1974 pour "L'Arnaque". Elle a écrit deux livres : "The Dress Doctor" et "How to Dress with Success". Elle est morte à 84 ans à Los Angeles d'une maladie de la moelle osseuse. Un des rares techniciens du cinéma à jouir d'une certaine notoriété auprès du public, Edith HEAD associe son nom au glamour de toute une époque du cinéma américain. Elle participe à la plupart des productions de prestige de la Paramount jusqu'en 1967, date à laquelle elle signe un contrat avec Universal. Il arrive que ses créations pour le cinéma provoquent des effets de mode dans la vie réelle. Le manteau de plumes de paon de Hedy LAMARR dans "Samson et Dalila" (1949) de Cecil B. DeMILLE, le fameux vison de Bette DAVIS pour "Eve" (1950) de Joseph Leo MANKIEWICZ, les pantalons cigarette d'Audrey HEPBURN dans "Sabrina" (1954) de Billy WILDER sont tous signés Edith HEAD. Durant sa longue collaboration avec Alfred HITCHCOCK, elle habille notamment Grace KELLY et Kim NOVAK. Elle excelle dans l'univers masculin et les costumes d'époque, comme en témoignent "L'Arnaque" (1973) de George ROY-HILL ou "L'Homme qui tua Liberty Valance" (1962) de John FORD. Dans son dernier film, "Les Cadavres ne portent pas de costard" (1982) de Rob REINER, cette costumière couverte d'oscars se livre à un amusant travail de pastiche. (photos d'Edith en compagnie de quelques STARS avec qui elle travailla, telles Dorothy LAMOUR, Anne BAXTER, Grace KELLY, Olivia De HAVILLAND, Audrey HEPBURN et Mel FERRER, Jeff CHANDLER ou encore Alfred HITCHCOCK et Ingrid BERGMAN).
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